C’est quoi le Growth Hacking ? Definition & exemples

Se prévaloir du titre de hacker ou devenir hacker se révèle comme n’étant pas accessible à toute personne dans le monde. Il s’agit d’un métier qui nécessite plutôt une bonne expertise de ceux qui s’y intéressent. Au nombre des méthodes utilisées pour favoriser la croissance d’entreprise, se place le growth hacking. C’est un moyen qui a pour but d’entraîner une croissance rapide de l’entreprise. Un hacker doit pouvoir normalement acquérir une totale maîtrise de ces outils pour être un as du hacking.

Qu’entend-on par growth hacking ?

Le growth hacking dans une approche littérale s’assimile à deux concepts en termes de définition. On entend par growth la méthode et hacking les différentes astuces. Ces termes se complètent donc par leur définition. En effet, ce produit résulte du travail de certaines start-up en vue de favoriser le développement des logiciels pour le marketing notamment. La raison première qui motive la création du growth hacking est donc principalement le marketing. La volonté de ses utilisateurs est alors de mettre sur pied une stratégie marketing qui pourra entraîner la croissance de toute entreprise. Cette action est pertinente, car la croissance est indispensable afin que le business prôné par une entreprise ou une start-up prospère. Les règles de l’entrepreneuriat sont inégalitaires pour ce qui concerne les petites entreprises notamment au niveau du capital humain et des moyens financiers. Ces start-ups sont alors obligées d’opter pour le hacking automation. De manière plus pratique, on dira que le growth hacking est un assemblage de techniques, mais également d’outils de marketing servant à la croissance facile d’un business. Ainsi, le web hacking ellis est donc une solution de contournement des règles légales et du système qui se révèle être déficitaire.

Le fonctionnement du growth hacking

Au niveau du web, sur les réseaux sociaux, la stratégie la plus prisée par les hackers est le growth. Il faut reconnaître que ce dernier vu d’un œil plus désintéressé et général est particulier dans son fonctionnement. L’acquisition réelle de la croissance dans une entreprise nécessite l’accomplissement d’actions de sorte à faire un calcul précis et concis pour mesurer la viabilité d’un projet (business, métier). Pour déterminer leurs possibilités afin de faire des choix décisifs, les hackers procèdent à l’analyse d’un instrument appelé Roi. En réalité, le growth hacking consiste dans le fond à la correction de certaines inégalités propres au système et s’assure, dans ce sens, de l’acquisition d’un changement à long terme. Cette philosophie est en contradiction avec ce que pensent et imaginent plusieurs personnes qui limitent et réduisent le mot hacking à la fraude et au piratage notamment de données personnelles. En terme digital, l’usage du growth hacking est sous l’impulsion d’intentions louables de ses utilisateurs permettant de contourner le système lorsqu’il se montre injuste pour obtenir des résultats plus justes à sa place.

 

Les différents types de growth hacking

Il est important de comprendre au préalable que le growth hacking est un produit qui se différencie des méthodes dites classiques en marketing. Il est question d’un système digital fonctionnant à partir de certaines méthodes. Il en existe d’ailleurs trois. En premier, le growth hacking blanc est celui composé de plusieurs techniques de hacking dites légales par les clients et faisant l’objet d’utilisation par plusieurs hackers. Un hacker qui souhaite prospérer et maintenir son client ou ses clients ne pourra se priver de l’utilisation de cette technique qui se fait fréquente sur les réseaux sociaux entre autres exemples. Ensuite, nous avons le hacking gris. Cette technique qu’on pourrait qualifier d’illégale permet la récupération de certaines données comme l’adresse e-mail et bien d’autres. Enfin, le hacking dit noir est parmi toutes les techniques, celle la plus illégale. Elle détient plusieurs fonctionnalités. Le growth hacking est à la quête d’une croissance qui dure et permet l’acquisition d’un lien au sein du trafic virtuel. Cela est possible à travers certains outils essentiels comme les exemples de l’elis, le sean, le femework ou l’inbound. La personne du hacker lui-même devra aussi disposer dans son métier, d’un état d’esprit prompt à l’analyse avec des résultats qui intéresse le client.